Pain d’Épices – bougie parfumée en cire de soja

notes de parfum : vanille, miel, clou de girofle, caramel, cannelle, fève de tonka

Lorsque l’hiver pose ses doigts pâles sur les vitres et que le vent fredonne aux cheminées son vieux chant d’exil, il est une flamme humble et précieuse, messagère de joie et de souvenir: la bougie “Pain d’Épices”.

Sa senteur, riche et enveloppante, mêle la cannelle vibrante et le clou de girofle profond, comme deux vieilles âmes qui dansent au coin du feu. Puis vient la vanille, douce et presque timide, accompagnée de la fève de tonka, noble et mystérieuse. Et là, dans ce cortège d’arômes, le miel coule, doré et sacré, suivi par l’éclat discret du caramel, souvenir d’une enfance offerte dans un cuillère brûlante de tendresse.

La bougie “Pain d’épices” ranime les veillées anciennes, les tables garnies de gourmandises, les rires d’enfants couronnés de sucre et d’étoiles. Elle exhume de la mémoire le four tiède, le torchon encore chaud, la main qui coupe un gâteau doré dont s’élève un parfum d’amour. Elle rassure le cœur et le quotidien devient fête.

Fermez les yeux, inspirez… Le pain d’épices est à portée de flamme !

Et que dire de sa fabrication ? Née des mains d’une artisane cirière de Millau, cette bougie est faite de cire de soja, naturelle et européenne, pour une flamme douce et respectueuse. Sa mèche en coton tisse une lumière pure et éclaire comme une étoile tombée sur terre. Grasse, la cité des senteurs, a offert à sa flamme son langage subtil. Les parfums qui la composent sont en effet originaires de la capitale de la parfumerie.
Cette bougie est le choix des âmes exigeantes, de celles et ceux qui recherchent la qualité artisanale et le plaisir sensoriel.

Conseils d’utilisation et de sécurité, car quand la flamme danse, mieux vaut l’apprivoiser:

• Tenez-la loin des mains trop jeunes et des pattes curieuses.
• N’allumez pas sa flamme plus de quatre heures, car même la lumière doit savoir se retirer.
• Retaillez la mèche avec soin avant chaque usage.
• Lorsque la cire atteint le dernier centimètre, ne laissez plus la flamme danser.
• La flamme s’épanouit mieux sans être déplacée.
• Éloignez-la des matières que le feu pourrait convoiter.
• Qu’elle repose sur une surface stable, digne d’elle.
• Ne l’abandonnez jamais à elle-même, car une flamme seule est une âme sans gardien.